Kézako ?
Presse étudiante
Tracts
Correspondances
Témoignages
Photographies
Accès réservé
Mentions légales
Vous êtes ici : Accueil arrow Témoignages arrow Par période

Témoignage de Roger Barralis

Recueilli le 26 mai 2001 par Delphine Brihat et Jean-Philippe Legois.

 

ATTENTION : afin de pouvoir écouter les séquences du témoignage, vous devez avoir le plug-in Flash 6. Pour le télécharger, cliquez ici.
Le lancement du son peut prendre quelques secondes, soyez patients.
Lecteur audio sous licence libre Creative Commons développé par Dew.


 

 


MVE002/001

Présentation, contexte familial, état civil. Ses grands-parents. Son père.

 

 [2’52]
MVE002/002

Premiers souvenirs politiques : Dien Bien Phu, guerre d’Algérie.

 

 [1’16]
MVE002/003

Premiers contacts politiques par l’intermédiaire d’amis comme Jean-Pierre Cotton ; éveil à gauche.

 

 [1’08]
MVE002/004

Bac, éloignement. Inscription à la faculté d’Aix-en-Provence, en octobre 1963, avec J.P. Coton. Contacts à gauche, débuts dans le militantisme dès novembre 1963.

 

 

 [1’46]
MVE002/005

Rentrée 1963 à Aix : contexte social, fédération des étudiants rapatriés, extrême-droite, milieu très à droite, groupe nazi. Autres groupes politiques : royalistes, gauche.

 

 [1’50]
 MVE002/006

L’AGEA (Association Générale des Etudiants d’Aix) : présentation.Corpo de droit de l’AGEA et USED-UNEF minoritaire (Union syndicale des Etudiants en Droit), à laquelle appartient Barralis. Affrontements avec les autres groupes. Lettres.

 

 [2’28]
 MVE002/007

Retour sur son parcours universitaire : pris par le militantisme, moins assidu pour les études. Lauréat en droit en 1963-1964. En 1964-1965, il redouble sa deuxième année de droit ; troisième année de droit en 1965-1966, inscription en sciences politiques.

 

 [2’04]
 MVE002/008

Baccalauréat scientifique (math) mention assez bien. Etudes de lycée : ouverture à une compréhension politique, influence d’un professeur marxiste ; « donner du sens à l’histoire ».

 

 

 [2’42]
 MVE002/009

Choix du droit et des études supérieures dû au refus de la condition sociale de ses grands-parents. Passe des tests d’orientation professionnelle. En fait, il ne tentera jamais l’ENA malgré le diagnostic.

 

 [2’40]
 MVE002/010

Contexte militant à Aix-en-Provence, nouvelle famille politique. - Habite en cité Universitaire et milite à l’association des résidents ; bataille Gauche / Droite, milieu catholique de gauche.

 

 [2’26]
 MVE002/011

Contexte politique de l’année 1964 : préparation de l’élection présidentielle de 1965, tentatives de regroupement gauche / centre gauche, candidature de M. « X » / Deferre. Dans ce groupe, présence de Barrault.

 

 [2’39]
 MVE002/012
Adhérent SFIO (seulement 2 adhérents à l’Université d’Aix !). - Atmosphère dans les amphis : lutte très dure entre les différents groupes politiques.

 [2’21]
 MVE002/013

Responsabilités de Barralis à l’USED et à l’UGEA, où est présente une influence communiste.

 

 [1’54]
 MVE002/014

Rôle de son ami, JP Coton, maoïste (fédération des cercles marxistes et léninistes de France, PCMLF de Jurquet, « Humanité rouge »). Plus tard, alliance tactique pour éviter que l’AJS prenne l’UNEF.

 

 [2’02]
 MVE002/015

Faculté d’Aix : pratiques pédagogiques anciennes, TP, beaucoup d’absentéisme, suscitant encore davantage le développement des polycopiés ; bataille des polys entre les différentes associations d’étudiants.

 

 [2’59]
 MVE002/016

Nombre d’étudiants, 2 cités universitaires.

 

 [0’59]
 MVE002/017

Mixité à la cité universitaire : surveillance. - Grande grève d’Antony en 1964-1965.

 

 [1’15]
 MVE002/018

Gestion du restaurant universitaire par l’administration et non par l’AGEA.

 

 [0’29]
 MVE002/019

MNEF : à gauche, désintérêt à droite. Travail de la MNEF : expérience des BAPU, réflexion sur la santé de l’étudiant (séquelles de la Seconde guerre mondiale).

 

 [2’28
 MVE002/020

L’UNEF, l’UGEA, la FER. Lutte contre l’extrême-droite. - Pratiques syndicales très classiques : bataille des tracts et des bulletins syndicaux ; pas de véritable mise en place des GTU. Campagne sur l'allocation d'études en 1964.

 

 [2’48]
 MVE002/021

Deux ans en cité universitaire : pénurie des places. Débats dans les cités universitaires, mais toujours assez restreints.

 

 

 [1’43]
 MVE002/022

Débats politiques post-guerre d'Algérie. Année 1965 : constitution du comité étudiant de soutien à Mitterrand (CESM) à Aix, avec participation de l’UEC, force politique la plus importante (2 membres UEC, 2 membres SFIO, 2 membres JEC, 2 membres PSU).

 

 [3’59]
 MVE002/023

Inexistence du PSU en milieu étudiant à Aix ; Barralis s'autoproclame PSU. 250 à 300 adhésions au CESM.

 

 [1’27]
 MVE002/024

L’UEC à Aix, entre orthodoxes et JCR, très peu vont vers les maoïstes.

 

 [1’03]
 MVE002/025

Succès du comité de soutien à Aix. PC pas très fort dans la circonscription nord des Bouches-du-Rhône, celle de Louis Philibert, président du Conseil Général. Boycott de fait de la campagne de Mitterrand par la fédération SFIO des Bouches-du-Rhône au premier tour : manque de militants pour cette campagne.

 

 [2’07]
 MVE002/026

Barralis assure toute la couverture propagandiste de la zone Nord des Bouches-du-Rhône pour la campagne de Mitterrand. Appui sur le noyau dur de l'UEC pour militer.

 

 [1’57]
 MVE002/027

Désir de perpétuer le CESM après l'élection présidentielle. Affrontements au sein de l'UEC, dont les dirigeants refusent la transformation du CESM en organisation autonome, craignant pour leur propre organisation.

 

[2’18]
 MVE002/028

Suite à ce refus, création du RES (Rassemblement des étudiants socialistes). - Barralis n’est pas encore encarté au PSU. - 1964-1966 : prend des responsabilités au sein de l'USED.

 

 [2’06]
 MVE002/029

Octobre 1965 : location d'un appartement en ville (9 mois) avec Jacques Bourdon, Michel Estève, Jean-Pierre Cotton. - Grande période militante en 1965-1966 : collage d'affiches pour Mitterrand.

 

 [2’37]
 MVE002/030

Barralis sollicité pendant la campagne Mitterrand par l’avocat Jean-Louis Pelletier pour adhèrer à la convention des institutions républicaines (CIR). Rassemblement de la CIR à Marseille : tonalité anti-communiste des discours. Décide de ne pas concrétiser son adhésion.

 

 [2’50]
 MVE002/031

Le RES désire adhérer à une organisation nationale ; contact avec la SFIO et le PSU. Heurgon reconstruisait le PSU après la grande crise de 1963 ; en 1966, il passe voir Barralis, conquis.

 

 [3’12]
 MVE002/032

Adhésion au PSU en juin 1966. Le PSU a jalonné la vie de Barralis qui en reste adhérent jusqu’au 31 décembre 1986.

 

 [1’00]
 MVE002/033

Episode sans suites en 1964 : sollicité par Lucien Weygand pour s’occuper des jeunesses de la SFIO à Marseille.

 

 [1’24]
 MVE002/034

Le PSU s'est reconstitué sur une base étudiante, puis dans toutes les Bouches-du-Rhône. Théorie de l'abondancisme.

 

 [1’28]
 MVE002/035

Juin 1966 : ne présente pas les examens. Désir de partir d’Aix. Michel Lecointe l’invite en Normandie. Visite d'Heurgon qui manœuvre pour « sauver » l’UNEF.

 

 [2’27]
 MVE002/036

Heurgon propose à Barralis d'aller à Paris pour renforcer les étudiants du PSU dans l’UNEF.

 

 [1’22]
 MVE002/037

Rentrée 1966 : Barralis à Paris. Elu au secrétariat national (SNE) des étudiants du PSU en octobre. Ecart entre sa ligne unitaire avec l’UEC à Aix et la ligne très critique des ESU vis-à-vis des communistes à Paris. - Une grande figure : Jean Poperen.

 

 [2’40]
 MVE002/038

Candidat au secrétariat national étudiant du PSU. - Découverte à Paris d'affrontements violents entre gauche et extrême-gauche.

 

 [2’32]
 MVE002/039

Septembre - octobre 1966 : préparation de la prise du BN de l'UNEF. Regroupement autour du PSU pour contrecarrer la montée en puissance de l'UEC-« orthodoxe ».

 

 [2’26]
 MVE002/040

Décembre 1966 : refuse d'intégrer le BN de l’UNEF et préfère rester au secrétariat national des étudiants du PSU.

 

 [1’12]
 MVE002/041

Janvier 1967 : le PSU « prend » le BN de l’UNEF. - Noms des dirigeants de la gauche syndicale, noms des théoriciens.

 

 [3’09]
 MVE002/042

Pierre Vandenburie, de l'AG de Lille, Président du premier BN-UNEF PSU. – Archives de la trésorerie de l’UNEF.

 

 [1’35]
 MVE002/043

Mise en place d'une équipe de gestionnaires pour rattraper la trésorerie UNEF ; problème du festival international et du trou financier. BN UNEF enlisé dans les problèmes financiers.

 

 [1’21]
 MVE002/044

Barralis au SNE des ESU d'octobre 1966 à juillet 1967. - Etudes : inscrit en 2ème année de droit à Assas, il retourne à Aix en octobre 1966 pour passer l’examen de fin d’année préparatoire de Sciences-Po. Reçu, il passe en 2èmeannée de l’IEP-PARIS, puis en 3ème année. Diplômé de sciences politiques en 1971 (repassage de la langue).

 

 [4’41]
 MVE002/045

Jacqueline Barralis, sa femme, boycotte l’agrégation.

 

 [1’20]
 MVE002/046

« Etudiant fantôme » : inscrit en fac de droit pour militer dans la section droit des étudiants du PSU, plutôt qu’à Sciences-Po (décalage social).

 

 [2’28]
 MVE002/047

Affrontements avec l’extrême-droite à Assas.

 

 [0’50]
 MVE002/048

Adhésion à l’UNEF, via l’AGEDESEP. Participation au secrétariat national des étudiants du PSU, et permanent en 1966-1967.

 

 [1’26]
 MVE002/049

Les locaux du PSU, rue Mademoiselle. - Lors de son année comme permanent, Barralis rencontre de grands noms du PSU. – Loge dans un hôtel meublé.

 

 [3’57]
 MVE002/050

5ème congrès du PSU en juin 1967 : division entre la ligne Martinet / Poperen et Rocard / Heurgon (aile gauche) sur la question de la FGDS. Considérations sur Rocard, devenu secrétaire national du PSU au lieu de Martinet.

 

 [2’54]
 MVE002/051

Juillet 1967 : congrès de l’UNEF. Barralis est envoyé à Aix pour régler le problème de l’UEC qui formalise son opposition au BN du PSU : UEC mise en minorité, PSU divisé en 2. Démission du poste de permanent.

 

 [3’31]
 MVE002/052

Fin 1967 – début 1968 : Barralis travaille tout en étant militant et étudiant. Constitution d’une section syndicale CGT dans son entreprise, pendant mai 1968.

 

 [3’46]
 MVE002/053

Activité syndicale étudiante réduite. A Paris, affrontements PCF / JCR.

 

 [3’41]
 MVE002/054

Resto U : batailles avec l’extrême-droite. - AGEDESEP dominée par la section PSU.

 

 [2’03]
 MVE002/055

Retour sur la Cité U d’Antony : grande grève pour la mixité, référence pour les actions en cité U ; activité tiers-mondiste.

 

 [1’37]
 MVE002/056

Actions contre la guerre du Vietnam ; évocation du CVN (Comité Vietnam National : JCR et ESU) et des CVB (Comités Vietnam de base : maos et ESU).

 

 [2’44]
 MVE002/057

Mai 68. Etudiants du PSU divisés en 2 blocs: « texte de Marseille » élaboré par Barralis et d’autres, et considéré par les majoritaires (dirigés de fait par Heurgon, avec Sauvageot) comme pas assez critique vis-à-vis du PC. - Barralis anime cette équipe et s’oppose pour la première fois à Heurgon.

 

 [3’02]
 MVE002/058

Pierre Alain Muet, devenu le conseiller économique de Jospin à Matignon : présenté aujourd’hui comme nouveau en politique (!), faisait partie des majoritaires à cette époque.

 

 [1’52]
MVE002/059

Massoni (devenu plus tard préfet de Police de Paris) chargé de recruter en 1968 pour les RG de Paris.

 

 [2’05]
MVE002/060

Etat de l’UNEF à la veille de mai 68 ; Sauvageot, président par concours de circonstances.

 

 [2’03]
MVE002/061

Volonté de redonner corps à l’organisation des ESU dans l’UNEF; contacts avec des idéologues comme Béhar, théorisant la montée des luttes étudiantes en Europe.

 

 [3’19]
MVE002/062

Conférence nationale étudiante du PSU en mai 68. Echec aux élections de juin 1968.

 

 [2’33]
MVE002/063

Mai 68. Juillet 1968 : participation à l’organisation de l’université méditerranéenne d’été (UME), mais pas aux Assises de Grenoble. Août 1968 : intègre officieusement le BN de l’UNEF pour préparer le congrès de Marseille ; il y est officiellement élu, de mai 1969 à mai 1970. Août 1970 – 1971 : service militaire.

 

 [2’21]
MVE002/064

Evocation de mai 68, en entreprise et à Assas. Suites de la conférence nationale étudiante. Discours de De Gaulle.

 

 [3’42]
MVE002/065

Le matin après la nuit des barricades : rendez-vous chez Léo Hammon avec un étudiant américain travaillant sur le PSU. Voitures incendiées.

 

 [2’12] 
MVE002/066

Militantisme à la fac de droit ; garde du parti.

 

 [2’30]
MVE002/067

UME (Université méditerranéenne d’été) : rencontre de Georges Duby. Réunion à Aix de la plupart des pays autour de la Méditerranée, tentative de faire dialoguer les étudiants arabes et israéliens.

 

 [2’26]
MVE002/068

Barralis participe à l’UME chaque mois de juillet de 1966 à 1969 ; il est responsable de l’organisation en 1968.

 

 [2’31]
MVE002/069

Financement de l’UME par la Fondation Schlumberger.

 

 [1’20]
MVE002/070

L’UME en 1969 : victime de la politisation à outrance post-68 ; liste des pays participants.

 

 [3’45]
MVE002/071

L’après-mai 68. Au printemps 1969, débat interne aux ESU sur la question de l’exclusion de l’UNEF des Comités UNEF-Renouveau, animés par les communistes, qui rompent l’unité de l’organisation. Orientation un moment majoritaire des ESU en faveur de l’exclusion; opposé à ce choix, Barralis se retire de la direction.

 

 [2’56]
MVE002/072

Automne 1969 : retour de Barralis à la direction à la demande du PSU. Condition qu’il met à ce retour : maintien d’un cadre démocratique et unitaire sans exclusion des communistes. [avec interventions de Jacqueline Barralis]

 

 [2’19]
MVE002/073

Problème du déroulement démocratique des élections dans les AGE (ex. : Clermont). - Congrès d’Orléans en 1970 : AJS en position de force, contrairement à l’UEC.

 

 [2’29]
MVE002/074

Stratégie de l’UEC dès la fin 1968 : formation de la tendance UNEF-renouveau. Difficulté du positionnement du BN vis-à-vis de cette stratégie. Fin 1968 : rencontre très dure entre le BN de l’UNEF et le Bureau Confédéral de la CGT (figure de Krasucki) ; situation de rupture. Volonté de l’UNEF de se transformer en mouvement politique de masse (objectif du congrès de Marseille).

 

 [3’49]
MVE002/075

Barralis n’a pas eu connaissance du séminaire de la gauche syndicale organisé à Nice.

 

 [1’16]
MVE002/076

Congrès de Marseille : enjeu du positionnement de l’UNEF vis-à-vis de la participation lancée par Edgar Faure ; refus dans la même logique politique de masse. Plus partagé sur la participation, pouvant être également une chance pour l’UNEF.

 

 [3’11]
MVE002/077

Le MARC et la participation. Terrorisme idéologique. [avec interventions de Jacqueline Barralis].

 

 [2’02]
MVE002/078

Congrès de Marseille : la JCR se retire de l’UNEF.

 

 [1’53]
MVE002/079

L’UEC constitue ses propres structures (comités UNEF Renouveau) face à la décision de l’UNEF de transformer son organisation, autour de comités d’action, qui doivent remplacer les AGE traditionnelles et les Corpos.

 

 [1’25] 
MVE002/080

Report de ces transformations au congrès d’Orléans, congrès de la nouvelle UNEF.

 

 [1’08]
MVE002/081

Transformations statutaires, et non dissolution des structures existantes. L’année 1969 est marquée par le développement d’organisations séparées (CA UNEF et Comités U NEF-Renouveau).

 

 [3’31]
MVE002/082

L’AJS souhaite prendre la direction de l’UNEF ; l’UEC s’affaiblit au sein de l’UNEF, en montant ses structures parallèles, ce qui fait le jeu de l’AJS.

 

 [2’22]
MVE002/083

L’UEC rate l’occasion de prendre l’UNEF (mauvaise stratégie).

 

 [2’36]
MVE002/084

Modifications statutaires de l’UNEF, suite au congrès de Marseille : création en janvier 1969 du « Collectif National » (CN) qui doit se substituer plus fréquemment aux anciennes AG de l’UNEF d’entre les congrès.

 

 [4’05]
MVE002/085

Application de la réforme du fonctionnement de l’UNEF. 1970-1971 : survie difficile d’un BN-UNEF « assiégé ». Emiettement de l’extrême-gauche : crise du PSU, avec scissions et départ de trotskistes. [avec interventions de Jacqueline Barralis].

 

 [1’51]
MVE002/086

PSU des années 1970 : développement de la GOP (Gauche Ouvrière et Paysanne). Plus tard, entrée de la fraction pabliste (AMR, Alliance Marxiste Révolutionnaire) au PSU.

 

 [3’08]
MVE002/087

Contexte général 1969-1972 : construction d’un parti révolutionnaire. Congrès PSU des 17 thèses de Dijon en 1969.

 

 [2’26]
MVE002/088

Echec du référendum de De Gaulle. Au congrès de Dijon, Heurgon quitte la direction du PSU.

 

 [2’20]
MVE002/089

Personnalité d’Heurgon (comparaison avec Seguin), issu d’une famille d’intellectuels. [avec interventions de Jacqueline Barralis].

 

 [2’30]
MVE002/090

1969-1970 : nombreux conflits internes au sein du PSU. Ras le bol de nombreux étudiants du PSU par rapport aux contraintes résultant de leur position au BN de l’UNEF.

 

 [1’41]
MVE002/091

Fin 1970 : la direction du PSU décide que les ESU quitteront la direction nationale de l’UNEF.

 

 [0’36]
MVE002/092

Septembre – Décembre 1971 : devient permanent du parti à la demande de Rocard. – Débat au sein du BN du PSU autour de la question du départ du BN de la MNEF.

 

 [1’19]
MVE002/093

En charge avec Legarec, de l’organisation de la passation de direction à la MNEF. Choix entre AJS et PS. Plus favorable à la solution AJS. [avec interventions de Jacqueline Barralis].

 

 [2’39]
MVE002/094

Dernières tractations sur la MNEF. Fin 1971 : négociations entre PS et PCF en vue de la signature d’un programme commun.

 

 [1‘33]
MVE002/095

1970 : Congrès d’Orléans. L’humanité rouge et le BN UNEF. Scission de l’UNEF en janvier 1971 : [UNEF-US] majoritaire, UNEF [dite renouveau], minoritaire.

 

 [1’36]
MVE002/096

Retour sur la ligne du Congrès de Marseille : pour une UNEF, mouvement politique de masse ; la JCR et d’autres se revendiquant comme une avant-garde révolutionnaire.

 

 [2’34]
MVE002/097

Juillet 1968 à Grenoble : tentation d’une alliance JCR-ESU. Volonté de la JCR de construire son organisation. Les militants sortent brisés du Congrès de Marseille.

 

 [2’08]
MVE002/098

Campagne pour le boycott au PSU. Côté simpliste des mobilisations de l’AJS. [avec interventions de Jacqueline Barralis].

 

 [1’29]
MVE002/099

Fin 1971 : une génération d’étudiants du PSU part. Pas de relève. [avec interventions de Jacqueline Barralis].

 

 [1’08]
MVE002/100

AJS, organisation jeune de l’OCI (Organisation Communiste Internationaliste) , surnommé « l’extrême gauche ossifié ».

 

 [0’57]
MVE002/101

Réflexions sur l’échec des ESU à la tête de l’UNEF.

 

 [2’38]
MVE002/102

Crise interne du PSU. AGE de Lyon : maintien des structures malgré l’absence de projet commun. - [Intervention de Jacqueline Barralis : Effectif des ESU en baisse ; amplification de la crise chez les jeunes.]

 

 [3’15]
MVE002/103

Loi Faure : concession du pouvoir après Mai 1968. La phraséologie domine dans l’extrême gauche. Croyance de certains militants : « l’heure de la révolution a sonné ».

 

 [2’38]
MVE002/104

Conception du PSU : l’Université n’était pas seuleument une base de recrutement de militants révolutionnaires. A propos de la loi Faure : analyse politico-stratégique erronée des étudiants du PSU.

 

 [2’33]
MVE002/105

Actions des ESU dans les années 1968-1970 au sein de l’Université : militantisme, actions ponctuelles (boycott de l’agrégation). A propos des « établis » après 1968. [avec interventions de Jacqueline Barralis].

 

 [2’32]
MVE002/106

Retour de l’armée en août 1971. Tente de monter un Centre de Recherches avec Luc Barret : Centre de Coordination et de Recherches sur le Mouvement Etudiant (CCRME). Edition de deux brochures.

 

 2’50]
MVE002/107

Manque de temps et de disponibilité pour faire vivre le CCRME : activités salariés, militantisme (Comité Chili, ONIC).

 

 [2’54]
MVE002/108

Pas de transmission aux jeunes générations encore étudiantes. Eclatement des ESU. Abandon de leur projet. Remords puis apparition du GERME.

 

 [3’13]
MVE002/109

1972 : entre à l’Office National Interprofessionnel des Céréales (ONIC) et milite à la CGT. Syndicats présents : CGT, FO, CFTC.

 

 [1’29]
MVE002/110

Membre de la Direction de la section parisienne, puis du Bureau national du syndicat national. CGT de l’ONIC ; celui-ci devient l’un des cinq syndicats nationaux contestataires au sein de la Confédération. Participe à trois congrès confédéraux CGT en tant que délégué (1975, 1978, 1982).

 

 [1’48]
MVE002/111

1981-1982 : Solidarnosc. - « Années Chili » : union locale du PSU (92).

 

 [1’31]
MVE002/112

Fin des années 1980 : dissolution du PSU. Fin des années 1970 : création d’une association locale « Clamart Autogestion », animée par la section du PSU. Remplace progressivement la section locale du PSU ; un élu aux Municipales de 1989. Liste de 1995 recueille plus de 5% au 1er tour.

 

 [1’08]
MVE002/113

Comportement « impérialiste » du PS. 2001 : Changement de nom « Alternatives Clamartiennes » ; 7 élus aux Municipales. [avec interventions de Jacqueline Barralis].

 

 [2’57]
MVE002/114

Décembre 1991 : quitte l’ONIC et entre au Ministère de l’Agriculture. - 1975-1983 : membre du bureau national du syndicat CGT de l’ONIC.

 

 [2’24]
MVE002/115

Milieu cégétiste dans les années 1980-1981. - Echec cinglant des comités Chili.

 

 [1’38]

 

 
© CME / Atelier @lternet 2004 - 2009